Questions fréquentes
La gestion des déchets soulève de nombreuses interrogations. Vous trouverez ici les réponses aux questions les plus fréquentes.
La taxe prélevée annuellement auprès des citoyens couvre les frais d'élimination des déchets et les taxes diverses. Les dépenses suivantes entrent en particulier en ligne de compte : rétribution du personnel d'exploitation de la déchèterie et des éco-points des différents villages, coûts directs d'élimination des déchets collectés, traitement des déchets verts, frais d'entretien des machines, amortissement du bâtiment et des installations, tournées des déchets encombrants.
Les ordures ménagères n'entrent pas en ligne de compte, puisque leur élimination est financée directement par l'achat de sacs taxés.
Le service communal lié à l'enlèvement et l'élimination des déchets doit s'autofinancer. Cela signifie que les dépenses liées à la gestion des écopoints et de la déchèterie doivent être couvertes par les taxes de base.
Le montant de la taxe annuelle est fixée chaque année dans le cadre du budget, en tenant compte des charges prévisibles mais également du résultat comptable le plus récent disponible. En cas de découvert, la taxe est adaptée à la hausse. En cas d'excédent de recettes, la taxe est abaissée. Cela garantit l'autofinancement du service.
L'adaptation de la taxe ne peut pas être faite en cours d'année pour des raisons juridiques. Ainsi, tout changement qui interviendrait en cours d'année dans la gestion des déchets ne peut pas être pris en compte immédiatement pour l'adaptation du montant de la taxe.
La gestion des différents types de déchets doit répondre à plusieurs impératifs qui sont susceptibles d'évoluer dans le temps. Il en est ainsi des conditions du marché des déchets et/ou de la législation. La pratique de la Commune doit sans cesse s'adapter à ces impératifs ce qui peut générer une certaine incompréhension légitime de la part des citoyens qui se donnent la peine de trier leurs déchets.
Le Tritout est actuellement ouvert à raison de 11 heures en été et 9 heures par semaine en hiver, dans la moyenne des horaires des communes de la région de même importante démographique (Courroux, Courrendlin en particulier).
Une extension des horaires ne semble donc a priori pas justifiée.